Il Fallait Vivre : Le Temoignage Exceptionnel D'un Ex-otage Du Bataclan, Dix Ans Apres

David Fritz Goeppinger


langue indéterminée | 16-10-2025 | 240 pages

9791028534820

Livre


18,00€

 Disponibilité

   Commandez en ligne

   Récupérez votre commande en magasin




Brève description / annotation

« Le président a appelé mon nom. J'ai serré la main de ma femme. Trouvé des yeux la robe noire de mon avocate et me suis élancé vers la barre. En marchant, j'ai senti le regard des quatorze accusés se poser sur moi et j'ai eu de nouveau peur. J'ai compté mes pas les uns après les autres, j'ai respiré, j'ai vécu une dernière fois dans cette peau-là. » Dans ce récit bouleversant, David Fritz Goeppinger, ex-otage du Bataclan et temporairement chroniqueur lors de V13, nous plonge au coeur de ce procès historique qui a duré 10 mois et mobilisé 1 700 parties civiles et 350 avocats. Il en fait un récit à la fois intime, en soulignant le rôle de ce procès dans sa reconstruction, et explore sa dimension collective. David Fritz Goeppinger est photographe et écrivain. Il a été retenu en otage, le 13 novembre 2015, aux côtés de dix autres personnes par deux des trois terroristes qui ont attaqué le Bataclan. Ce huis clos insensé et brutal l'a poussé à reprendre possession de son histoire grâce à l'écriture, et notamment avec la publication d'un premier ouvrage, Un jour dans notre vie (Pygmalion). À la suite des attentats, il a adhéré à deux associations de victimes et participe régulièrement à des conférences. Dix ans après ce drame qui l'a aussi construit, il témoigne à nouveau pour transmettre aux générations futures. Préface de François Molins, ancien procureur de la République. Postface d'Antoine Mégie, rapporteur scientifique de plusieurs projets de recherche sur les procès terroristes.

Détails

Code EAN :9791028534820
Auteur(trice): 
Editeur :Leduc
Date de publication :  16-10-2025
Format :Livre
Langue(s) : langue indéterminée
Hauteur :226 mm
Largeur :147 mm
Epaisseur :23 mm
Poids :386 gr
Stock :à paraître
Nombre de pages :240