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Ouvrages publiés en même temps, La Société décors : l'emprise du management et La Société des corps : production, extermination et métaphores forment un plaidoyer contre les dispositifs d'ignorance généralisée produits par les systèmes dominants, de l'asservissement cybernétique aux circuits de la souveraineté économique. L'auteur revient sur nos sociétés soumises à des impératifs d'e cacité et de compétitivité qui minent le lien social. La postmodernité rêve de la mutation de l'humain en mécanique pulsionnelle, assujettie à des machines spectaculaires (Internet, entre autres). Réutilisant la méthode qui a fait le succès de son précédent livre ( Tueurs en série. Les labyrinthes de la chair ), l'auteur met en lumière l'emprise des systèmes postmodernes.

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