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Après avoir retracé la création du réseau de l'État expliquant en grande partie le souci de la compagnie en matière de traction et son choix du type Mikado, cet ouvrage retrace la vie et la carrière des 250 machines de ce type construites de 1921 à 1923, issues des prototypes P.O. 5801 & 2 de 1914, premières Mikado françaises à simple expansion. Après une étude technique approfondie et abondamment illustrée de photos, dessins, courbes, . concernant non seulement la série, mais aussi les machines transformées (141.050 à distribution Renaud en 1928, 141.136D à distribution Dabeg en 1937, « chapelonisation » de la 141 E 113 en 1945) l'auteur nous retrace la carrière à la SNCF de chaque machine de 1938 à sa radiation : numéro de chaudière, timbres successifs, dépôts d'affectation avec dates, ateliers d'entretien avec type d'opération et date, kilométrage, . La vie de cette série est retracée en détail en signalant tous les incidents, et parfois accidents, survenus au long des 4 décennies de vie des Mikado. Un chapitre présente également les Ateliers de Quatre Mares, ateliers directeurs de cette série, et les machines sous-traitées à d'autres grands ateliers SNCF ou privés. L'évolution des effectifs par dépôt n'est pas oubliée ainsi que les quelques rares prestations spéciales confiées aux Mikado État. Un chapitre reprend la disposition finale des 250 Mikado (type de boîte à fumée, de réchauffeur, d'échappement, .). Les tenders sont également traités et un chapitre entier leur est dédié. Un chapitre est entièrement consacré à la dernière survivante, la 141 C 100, examinée dans ses moindres détails tout au long de sa carrière. 50

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