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Inlassable manoeuvre littéraire, Sainte-Beuve donne ses articles dans les journaux (du Moniteur au Constitutionnel et pour finir au Temps). Son entrée au sénat en 1865 lui assure la sécurité matérielle sans qu'il ait à se renier jamais. On voit amis et relations, le docteur Veyne, Lacaussade, Feydeau, Flaubert, Taine et Renan. Ce sont aussi les amitiés féminines : Hortense Allart, Mme de tourbey. C'est la poétesse Malvina Blanchecotte qu'il renseigne sur la vie littéraire non sans lui faire une cour pressante. La Princesse Mathilde et son frère le Prince Napoléon ont leur place. Les quatre dernières années voient un Sainte-Beuve lucide et courageux lutter contre la maladie qui l'emportera.

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