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Toi, accro au scroll frénétique et aux clics compulsifs, réveille-toi ! Ce livre, c'est le coup de pied dans le derrière que tu n'as jamais su que tu méritais. Plonge dans les abysses de la répression datacritique, là où tes "j'aime" et tes partages sont des chaînes invisibles qui t'enserrent. Entre les lignes acerbes, découvre comment Nietzsche lui-même se moquerait de ton selfie quotidien, comment Marcel Gauchet scruterait tes likes comme des oracles postmodernes désenchantés, et comment Zygmunt Bauman dénoncerait la liquéfaction de tes faux amis virtuels. Ça pique, hein ? Mais accroche-toi, le show ne fait que commencer. Tu devras ici te confronter à de véritables penseurs contemporains (Anders, Roszak, Rosa, Marcuse, Fromm), et pas des freluquets pseudo-philosophes qui polluent les écrans comme BHL, Enthoven, Pépin ou encore Finkielkraut. Ce foutu bouquin, c'est le miroir qui te renvoie l'image d'un esclave consentant de Facebook, Twitter et compagnie. Tu penses être le maître de ton smartphone ? Attends de lire ce qu'on a déniché. Tu vas goûter aux maîtres de la subversion qui te dévoileront comment tu es devenu une marionnette digitale, un pantin de la société de consommation 3.0. Ça brûle un peu, non ? Mais rassure-toi, on te le sert avec une bonne dose d'ironie, histoire que tu puisses digérer cette pilule amère. Alors, prêt à affronter la réalité crue de ta dépendance aux réseaux sociaux et aux applications qui gouvernent tes moindres mouvements ? Attache-toi bien, car cette odyssée psychanalytique dans l'abîme de ta propre consommation de données risque de secouer les fondations de ton petit univers virtuel.

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