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Dans une époque où se croisent les pensées de la postcolonialité, de l'après-holocauste et de la post-mémoire, les oeuvres d'I. Kertész, de J.M. Coetzee et de W.G. Sebald se démarquent par un travail spécifique de l'outil fictionnel. À l'ère des « post », les poétiques de l'après dialoguent ainsi avec les théories de l'après, interpellant autant la philosophie que la littérature, et traçant des continuités expérimentales et critiques entre la conscience historique de l'époque et sa raison littéraire.

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