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Dans le troisième volume de ses chroniques, Françoise Dubost-Luciani s'attaque avec son humour habituel, à l'écriture inclusive, à la dégenrisation », aux outrances du féminisme et à la dégradation progressive de la langue française. Elle a encore concocté des articles sur ses têtes de Turc favorites, qu'elle égratigne, avec toutefois une certaine bienveillance. Sont en ligne de mire les excès de la laïcité, le ridicule de certaines pubs, le tout entremêlé d'anecdotes où elle fait preuve de son autodérision coutumière. Elle nous prévient qu'il est préférable de prendre nombre de ses affirmations au second degré, pour : ne pas la prendre pour une drôle de bonne femme. C'est le cas par exemple lorsqu'elle se prétend être une fervente adepte des tendances nouvelles. Si vous avez aimé les deux premiers volumes, celui-ci vous amusera tout autant, voire peut-être plus.

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