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Du malaise contemporain, il nous faut déconstruire le sentiment judéophobe et israélophobe contemporain et explorer un nouveau narratif de discernement entre le peuple juif et l'État d'Israël. Les noires actions contre les juifs de la Haute Antiquité à la Shoah et jusqu'à aujourd'hui avec la déferlante d'un antisémitisme islamo-gauchiste après le pogrom du 7 octobre 2023 perpétré avec une sauvagerie inouïe par le Hamas et la guerre qui suivit à Gaza, constituent la marque infâme d'une humanité en désamour d'elle-même. Les larmes de l'histoire juive témoignent d'une hostilité durable avec la persistance « sans fin... de la haine du juif », selon l'historien académicien Pascal Ory. De ce malaise, il nous faut déconstruire le sentiment judéophobe et israélophobe contemporain et explorer un nouveau narratif de discernement entre le peuple juif et l'État d'Israël. Des eaux mêlées bien sûr, mais des entités à distinguer pour éviter de faire porter à tous les juifs, une implication directe dans la politique israélienne de sécurité et de défense pour préserver une nation et sa population.

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