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Les troubles de stress post-traumatique (TSPT) sont connus depuis bien longtemps. Pourtant, la reconnaissance de cette pathologie est très récente et encore limitée aux seuls militaires. De fait, un sapeur-pompier de Paris ou un marin-pompier de Marseille peut voir reconnue sa détresse là où un sapeur-pompier professionnel ou volontaire (85% des effectifs) devra se battre à un autre niveau. Dans le cas d'un pompier professionnel, si les troubles sont trop handicapants, l'administration pourra lui proposer de faire une demande de retraite pour invalidité. Mais comment cela se passerait-il s'il s'agissait d'un pompier volontaire ? Cet ouvrage a pour but d'ouvrir les esprits des cadres dirigeants et des politiques pour faire évoluer les bonnes pratiques déjà existantes mais trop dépendantes des SDIS.

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