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Après 40 années de vie publique, Christian Pellicani, élu Front de gauche (PCF) à la Métropole Aix Marseille Provence et président du Mouvement National de Lutte pour l´Environnement s´interroge sur l´avenir de sa ville et de son territoire à l´heure de l´ultra-libéralisme et de l´urgence climatique.Eau, mobilité et culture sont les trois axes qu´il propose à la réflexion pour que se concrétise le rêve marseillais.Contre les dérives de la délégation de service public, il faut remunicipaliser la gestion de l´eau. Limitant les gaspillages, cela permettra de redonner à cet élément sa place dans l´espace public (fontaines, toilettes, revégétalisation des noyaux urbains) et de réhumidifier les massifs marseillais pour y combattre les incendies et y développer une agriculture de proximité. Afin de favoriser une prise de conscience collective, Christian Pellicani en appelle à la constitution d´un Parlement de l´eau, regroupant citoyens et acteurs du secteur.À l´heure de l´ultra-libéralisme et de l´urgence climatique, quel avenir donner à Marseille?? Christian Pellicani propose trois axes à la réflexion?: l´eau, la mobilité et la culture.Une gestion de l´eau en régie directe permettrait à la collectivité de conduire les politiques imposées par le réchauffement climatique?: végétalisation des centres urbains, humidification des massifs, développement d´une agriculture de proximité, création de fontaines publiques. Christian Pellicani suggère la constitution d´un Parlement de l´eau.Initiateur des batobus, il plaide pour le développement et la diversification des modes de déplacement propres à l´échelle de la Métropole.En matière culturelle, il propose deux grands projets fédérateurs. L´un autour du passé grec de la plus ancienne ville de France?

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