Discours Sur La Premiere Decade De Tite-live

Nicolas Machiavel


français | 15-04-2022 | 616 pages

9782251452982

Livre


15,50€

 Disponibilité
   en stock chez le fournisseur

   Commandez en ligne

   Récupérez votre commande en magasin




Brève description / annotation

Préface, par Claude Lefort Notice, par Annick Pélissier Repères bibliographiques majeurs Nicolas Machiavel à Buondelmonti et Rucellai Livre premier Avant-propos Chapitre premier. Quels ont été les commencements des villes en général, et surtout ceux de Rome Chapitre II. Des différentes formes de républiques. Quelles furent celles de la République romaine Chapitre III. Des événements qui furent cause de la création des tribuns à Rome. Leur établissement perfectionna la Constitution Chapitre IV. Que la désunion du Sénat et du peuple a rendu la République romaine puissante et libre Chapitre V. À qui plus sûrement confier la garde de la liberté, aux grands ou au peuple, et lequel des deux cause plus souvent des troubles, de celui qui veut acquérir ou de celui qui veut conserver ? Chapitre VI. S'il était possible d'établir à Rome un gouvernement qui fît cesser les inimitiés qui existaient entre le Sénat et le peuple Chapitre VII. Combien les accusations sont nécessaires dans une république pour y maintenir la liberté Chapitre VIII. Autant les accusations sont utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse Chapitre IX. Qu'il faut être seul pour fonder une république ou pour la réformer en entier Chapitre X. Qu'autant sont dignes d'éloges les fondateurs d'une république ou d'une monarchie, autant méritent de blâme les auteurs d'une tyrannie Chapitre XI. De la religion des Romains Chapitre XII. Qu'il est important de faire grand cas de la religion. Perte de l'Italie pour avoir, par les intrigues de la cour de Rome, manqué à cette maxime Chapitre XIII. Comment les Romains se servaient de la religion pour établir des lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions Chapitre XIV. Que les Romains interprétaient les auspices suivant le besoin qu'ils en avaient ; qu'ils mettaient infiniment de prudence à paraître observer leur religion dans les occasions mêmes où ils étaient forcés de manquer à son observance ; qu'ils punissaient quiconque avait la témérité de la mépriser Chapitre XV. Comment les Samnites, dans une occasion désespérée, ont recours à la religion Chapitre XVI. Qu'un peuple accoutumé à vivre sous un prince conserve difficilement sa liberté, si par hasard il devient libre Chapitre XVII. Qu'un peuple corrompu qui devient libre peut bien difficilement conserver sa liberté Chapitre XVIII. De quelle manière, dans un État corrompu, on pourrait conserver un gouvernement libre s'il y existait déjà, ou l'y introduire s'il n'y était pas auparavant Chapitre XIX. Qu'un État qui a un excellent commencement peut se soutenir sous un prince faible ; mais sa perte est inévitable, quand le successeur de ce prince faible est faible comme lui Chapitre XX. Qu'une succession de deux grands princes produit de grands effets ; et que, comme les républiques bien constituées ont nécessairement une succession d'hommes vertueux, elles doivent s'étendre et s'augmenter considérablement Chapitre XXI. Combien méritent d'être blâmés le prince ou la république qui n'ont point d'armée nationale Chapitre XXII. Ce qu'il y a de remarquable dans le combat des Horaces et des Curiaces Chapitre XXIII. Qu'on ne doit point hasarder toute sa fortune sans employer toutes ses forces et que, pour cela, souvent il est dangereux de se borner à garder des passages Chapitre XXIV. Les républiques bien constituées décernent des récompenses et des peines, et ne compensent jamais les unes par les autres Chapitre XXV. Que si l'on veut changer la constitution d'un État libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions Chapitre XXVI. Qu'un prince nouvellement établi dans une ville ou dans une province conquise doit tout renouveler Chapitre XXVII. Que les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais Chapitre XXVIII. Pourquoi les Romains furent moins ingrats envers leurs concitoyens que ne le fut le peuple d'Athènes envers les siens Chapitre XXIX. Quel est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince Chapitre XXX. Quels moyens doit employer un prince ou une république pour éviter le vice de l'ingratitude, et comment un général ou un citoyen peuvent éviter d'en être les victimes Chapitre XXXI. Que les généraux romains ne furent jamais punis rigoureusement pour des fautes commises ; ils ne le furent même pas quand leur ignorance et leurs mauvaises opérations avaient occasionné les plus grands dommages à la république Chapitre XXXII. Qu'une république ou un prince ne doivent pas différer quand il s'agit de subvenir aux besoins de leurs sujets Chapitre XXXIII. Quand un mal est parvenu au plus haut point dans un État, il est plus sage de temporiser que de heurter de front Chapitre XXXIV. Que la dictature fit toujours du bien, et jamais de mal à la république romaine. C'est l'autorité dont les citoyens s'emparent qui nuit à la liberté, et non celle qui est conférée par les suffrages libres du peuple Chapitre XXXV. Pourquoi, dans Rome, la création des décemvirs fut-elle nuisible à la liberté, quoiqu'ils eussent été nommés par les suffrages libres du peuple ? Chapitre XXXVI. Que les citoyens qui ont été revêtus des plus grands emplois ne doivent pas dédaigner les moindres Chapitre XXXVII. Des troubles causés à Rome par la loi agraire ; qu'il est très dangereux dans une république de faire une loi qui fasse revenir sur le passé et qui détruise une ancienne coutume de l'État Chapitre XXXVIII. Les républiques faibles sont irrésolues et ne savent ni délibérer ni prendre un parti. Si quelquefois elles en prennent un, c'est plus par nécessité que par choix Chapitre XXXIX. Les mêmes accidents arrivent quelquefois chez des peuples bien différents Chapitre XL. La création du décemvirat à Rome, et ce qu'il faut y remarquer ; où l'on considère entre autres choses comment le même accident peut sauver ou perdre une république Chapitre XLI. Il est aussi imprudent qu'inutile de passer sans gradation et de sauter, pour ainsi dire, de la modestie à l'orgueil, de la douceur à la cruauté Chapitre XLII. Combien les hommes peuvent aisément se corrompre Chapitre XLIII. Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont de bons et fidèles soldats Chapitre XLIV. Une multitude sans chef ne peut rien faire ; et l'on ne doit pas se porter à des menaces avant de s'être emparé de l'autorité Chapitre XLV. Il est de mauvais exemple de ne pas observer une loi, surtout de la part de ceux qui l'ont faite, et rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville que de renouveler chaque jour les reproches et les punitions de torts anciens Chapitre XLVI. Les hommes s'élèvent d'une ambition à une autre. On songe d'abord à se défendre, ensuite à attaquer Chapitre XLVII. Que les hommes, quoique sujets à se tromper sur le général, ne se trompent pas sur le particulier Chapitre XLVIII. Qui veut empêcher qu'une magistrature soit déférée à un homme vil ou méchant doit la faire demander par un homme plus vil et plus méchant encore, ou par ce qu'il y a dans l'État de plus illustre et de plus vertueux Chapitre XLIX. Si les villes, libres dès leur origine, comme Rome, ont de la difficulté à trouver des lois qui les maintiennent en liberté, celles qui sont nées dans la servitude éprouvent l'impossibilité d'y réussir Chapitre L. Que nul conseil, nul magistrat ne doit pouvoir arrêter la marche des affaires dans un État Chapitre LI. Qu'une république ou un prince doit feindre de faire par générosité ce à quoi la nécessité le contraint Chapitre LII. Pour réprimer les excès et le danger d'un ambitieux en crédit dans une république, il n'est pas de plus sûr moyen ni qui fasse moins d'éclat que d'occuper avant lui le chemin qui conduit à cette élévation Chapitre LIII. Qu'un peuple souvent désire sa ruine, trompé par une fausse apparence de biens, et qu'on le met facilement en mouvement par des espérances séduisantes et des promesses magnifiques Chapitre LIV. Combien est puissante l'autorité d'un grand homme pour calmer une multitude échauffée Chapitre LV. Combien il est aisé de faire marcher toutes choses dans une république où le peuple n'est pas encore corrompu ; où l'égalité règne, il ne peut y avoir de principat ; où l'égalité ne se trouve pas, il ne peut y avoir de république Chapitre LVI. Que les grands changements qui arrivent dans une ville ou un État sont toujours annoncés par des événements, ou prédits Chapitre LVII. Que le peuple en masse est très courageux ; séparé, il est très faible Chapitre LVIII. Qu'un peuple est plus sage et plus constant qu'un prince Chapitre LIX. À qui d'un peuple ou d'un prince peut-on se fier davantage, comme allié Chapitre LX. Que le consulat et toute autre magistrature à Rome se donnaient sans égard à l'âge Livre second Avant-propos Chapitre premier. Laquelle a le plus contribué à la grandeur de l'empire romain, de la vertu ou de la fortune ? Chapitre II. Quels furent les peuples que les Romains eurent à combattre, et combien ils furent opiniâtres à défendre leur liberté Chapitre III. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines et en accordant facilement aux étrangers la qualité de citoyens Chapitre IV. Les républiques ont employé trois moyens pour s'agrandir Chapitre V. Que les changements de religion et de langue, et les accidents des déluges et des pestes effacent la mémoire des choses Chapitre VI. Comment les Romains faisaient la guerre Chapitre VII. Quelle quantité de terrain les Romains accordaient-ils à chaque colon ? Chapitre VIII. Pour quelles raisons les peuples abandonnent-ils leur patrie pour se répandre dans des pays étrangers Chapitre IX. Quels sont les sujets ordinaires de guerre entre les souverains Chapitre X. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre, quoique ce soit l'opinion générale Chapitre XI. Qu'il n'est pas sage de s'allier avec un prince qui a plus de réputation que de force Chapitre XII. Lequel vaut mieux, lorsqu'on craint d'être attaqué, de porter la guerre chez son ennemi ou de l'attendre chez soi Chapitre XIII. Pour s'élever d'un état médiocre à un rang élevé, la ruse sert plus que la force Chapitre XIV. Que les hommes se trompent bien des fois en croyant qu'à force de soumission on désarme la hauteur Chapitre XV. Que les États faibles sont toujours indécis, et la lenteur à se déterminer est toujours nuisible Chapitre XVI. Combien les armées modernes diffèrent des anciennes Chapitre XVII. Comment on doit apprécier l'artillerie dans nos armées modernes, et si l'opinion qu'on en a généralement est fondée en raison Chapitre XVIII. Qu'il est prouvé par l'exemple des Romains qu'on doit faire plus de cas de l'infanterie que de la cavalerie Chapitre XIX. Que les acquisitions d'une république mal constituée, et qui ne prend pas pour modèle de conduite celle des Romains, la mènent plutôt à sa ruine qu'à un accroissement de puissance. Chapitre XX. À quel péril s'exposent les princes ou les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercenaires Chapitre XXI. Le premier préteur que les Romains envoyèrent hors de Rome fut pour Capoue, quatre cents ans après qu'ils avaient commencé à faire la guerre Chapitre XXII. Combien sont erronés souvent les jugements que les hommes portent sur les grandes choses Chapitre XXIII. Comment les Romains évitaient les partis mitoyens à l'égard de leurs sujets, quand ils croyaient avoir une décision à prendre Chapitre XXIV. Les forteresses sont en général plus nuisibles qu'utiles Chapitre XXV. Que c'est prendre un mauvais parti que de profiter de la désunion qui règne dans une ville pour l'attaquer et s'en rendre maître Chapitre XXVI. Les témoignages de mépris et les injures n'attirent que de la haine, sans profit pour qui les emploie Chapitre XXVII. Les princes et les républiques sages doivent se contenter de vaincre, car on perd parfois tout à vouloir trop gagner Chapitre XXVIII. Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas venger les torts faits au public ou aux particuliers Chapitre XXIX. La fortune aveugle l'esprit des hommes, quand elle ne veut pas qu'ils s'opposent à ses desseins Chapitre XXX. Les républiques et les princes vraiment puissants n'achètent pas des alliés à prix d'argent ; c'est par leur courage et la réputation de leurs forces qu'ils s'en attirent Chapitre XXXI. Qu'il est dangereux de se fier à des exilés Chapitre XXXII. De quelle manière les Romains attaquaient les villes Chapitre XXXIII. Les Romains laissaient leurs généraux parfaitement maîtres de leurs opérations Livre troisième Chapitre premier. Veut-on qu'une religion ou une république durent longtemps, il faut les ramener souvent à leur principe Chapitre II. Combien il y a de sagesse à jouer pour un temps la folie ! Chapitre III. Qu'il est nécessaire pour maintenir une liberté nouvellement acquise, comme Brutus, de massacrer ses enfants Chapitre IV. Qu'un prince ne peut vivre en sûreté dans un État tant que vivent ceux qu'il en a dépouillés Chapitre V. Qu'est-ce qui fait perdre le trône à un roi qui en jouit par succession ? Chapitre VI. Des conspirations Chapitre VII. D'où vient que le passage de la liberté à la servitude, et de la servitude à la liberté, coûte quelquefois beaucoup de sang, et que quelquefois il n'en coûte pas du tout Chapitre VIII. Quiconque veut opérer des changements dans une république doit examiner dans quel état elle se trouve Chapitre IX. Qu'il faut changer suivant les temps, si l'on veut toujours avoir des succès Chapitre X. Qu'un général ne peut éviter une bataille lorsque l'ennemi veut la livrer à quelque prix que ce soit Chapitre XI. Quiconque a beaucoup d'ennemis à combattre est sûr de les vaincre, quoiqu'il leur soit inférieur en force, s'il peut soutenir leur premier effort Chapitre XII. Comment un habile général doit mettre ses soldats dans la nécessité de se battre, et procurer à ceux de l'ennemi tous les moyens de s'en dispenser Chapitre XIII. Qui doit inspirer plus de confiance, ou d'un bon général qui a une mauvaise armée, ou d'une bonne armée commandée par un mauvais général Chapitre XIV. Effet que produisent au milieu d'une bataille des stratagèmes nouveaux et des paroles imprévues Chapitre XV. Il ne faut à une armée qu'un seul chef. Un plus grand nombre nuit Chapitre XVI. Dans les temps difficiles on recherche le mérite, mais quand tout est paisible, la faveur est, non pour les hommes vertueux, mais pour ceux qui ont, ou des richesses, ou des parents puissants Chapitre XVII. Un État, après avoir offensé un citoyen, ne doit pas lui confier un commandement ou toute autre commission importante Chapitre XVIII. Le plus grand talent d'un habile général est de savoir deviner les desseins de l'ennemi Chapitre XIX. Les voies de la douceur sont-elles préférables aux voies de rigueur pour gouverner la multitude Chapitre XX. Un trait d'humanité fit plus d'impression sur les Falisques que toute la puissance des Romains Chapitre XXI. Pourquoi Annibal avec une conduite opposée à celle de Scipion eut en Italie les mêmes succès que ce général romain en Espagne Chapitre XXII. Comment la sévérité de Manlius Torquatus et la douceur de Valérius Corvinus les couvrirent également de gloire Chapitre XXIII. Causes du bannissement de Camille Chapitre XXIV. La prolongation du commandement militaire fit perdre à Rome sa liberté Chapitre XXV. Pauvreté de Cincinnatus et de plusieurs citoyens romains Chapitre XXVI. Comment les femmes sont la cause de la ruine d'un État Chapitre XXVII. Moyen de rétablir l'union dans une ville. Il est faux que la désunion soit nécessaire pour y conserver son autorité Chapitre XXVIII. Que l'on doit surveiller les actions des citoyens, parce que souvent celle qui paraît vertueuse recèle un principe de tyrannie Chapitre XXIX. Les fautes des peuples viennent de celles des princes Chapitre XXX. Qu'un citoyen qui veut être utile à sa république par quelque action particulière doit d'abord imposer silence à l'envie. Moyen de défendre une ville à l'approche d'un ennemi qui la menace Chapitre XXXI. Les grands hommes et les républiques bien constituées conservent le même courage au sein de la prospérité et dans les revers Chapitre XXXII. Moyens employés pour rendre la paix impossible Chapitre XXXIII. Pour gagner une bataille, il faut que les troupes soient remplies de confiance, et en elles-mêmes, et en leur général Chapitre XXXIV. Comment la réputation, la voix publique, l'opinion, concilient d'abord à un citoyen la faveur populaire. Le peuple fait-il pour les places, de meilleurs choix que les princes ? Chapitre XXXV. Danger de conseiller une entreprise, toujours proportionné à la grandeur de cette entreprise Chapitre XXXVI. Pourquoi a-t-on regardé les anciens Gaulois, et regarde-t-on encore les Français, comme étant plus que des hommes au commencement d'un combat et moins que des femmes vers la fin Chapitre XXXVII. De petits combats sont-ils nécessaires avant d'en venir à une action générale ? Si on veut les éviter, comment faut-il s'y prendre pour connaître un ennemi auquel on a affaire pour la première fois ? Chapitre XXXVIII. Qualités nécessaires à un général pour obtenir la confiance de ses soldats Chapitre XXXIX. Il faut qu'un général connaisse le pays où il fait la guerre Chapitre XL. À la guerre, la ruse mérite des éloges Chapitre XLI. Il faut défendre la patrie, soit avec ignominie, soit avec gloire. Tous moyens sont bons, pourvu qu'elle soit défendue Chapitre XLII. Les promesses arrachées par la force ne doivent point être observées Chapitre XLIII. Les habitants d'un même pays conservent toujours à peu près le même caractère Chapitre XLIV. L'audace et l'impétuosité emportent souvent ce que l'on n'obtiendrait point par des moyens ordinaires Chapitre XLV. Est-il plus avantageux de soutenir d'abord le choc de l'ennemi, et de l'attaquer ensuite vivement, que de commencer le combat avec impétuosité ? Chapitre XLVI. Pourquoi le même caractère se conserve-t-il assez longtemps dans les familles d'une même cité Chapitre XLVII. L'amour de la patrie doit faire oublier à un bon citoyen les inimitiés particulières Chapitre XLVIII. Une faute trop marquée et trop grossière de la part de l'ennemi doit faire soupçonner un piège Chapitre XLIX. Une république qui veut se conserver libre doit prendre chaque jour de nouvelles précautions. Services qui méritèrent à Quintus Fabius le surnom de Maximus

Détails

Code EAN :9782251452982
Auteur(trice): 
Editeur :Belles Lettres
Traduit par : Toussaint Guiraudet
Date de publication :  15-04-2022
Format :Livre
Langue(s) : français
Hauteur :190 mm
Largeur :125 mm
Epaisseur :31 mm
Poids :602 gr
Stock :en stock chez le fournisseur
Nombre de pages :616
Collection :  Le Gout Des Idees